48 HEURES POUR MOURIR.



ANDREAS GRUBER

  Editions L'ARCHIPEL
                                               Septembre 2015 
 "Le telephone sonne.Une voix etrange vous soumet une enigme.
- Vous avez 48 heures pour la resoudre.Si vous ne trouvez pas la solution, quelqu'un mourra."


- Hum! Entrée en scène originale, La Plume ! A ton sourire, je gage que ce thriller t'a...
-   Littéralement emballé ! Un vrai bijou. Ecrit avec un art du suspense parfaitement maîtrisé.
-   Je laisse donc au repos mon artillerie Grammy Awards Ratures ?
-   Oh que oui !
-   Alors vas-y. Résume. Je suis toute ouïe.
Encore habitée par le plaisir de la lecture, je ne me fais pas prier.
- Le roman débute à Munich par un assassinat. Celui  de la mère de Sabine. Une jeune commissaire rêvant d’être profileuse pour la célèbre BKA. Mais ce n'est pas un simple meurtre. En effet, la victime a été découverte près du grand orgue de la cathédrale Notre-Dame, noyée en ingurgitant des litres d’encre noir.
-  Original ! Je ne la connaissais pas celle-là !
Regard assassin. Mon pote ravale son sarcasme.
- ... 48h avant, poursuivis-je, son père dit avoir reçu une devinette à résoudre pour empêcher cette mort. Considéré comme suspect, pour l' innoncenter - et désobéissant à son supérieur - Sabine décide de mener l’enquête. Ce qui  va l' amener à rencontrer Sneijder, un expert du fameux BKA. Un homme  aux pratiques saugrenues, au légendaire cynisme, mais doté d'un incroyable flair. Elle deviendra sa partenaire, en  découvrant que le meurtrier s'inspire d'un livre d'enfant écrit par un psychiatre. L'assassin va alors se révéler un tueur en série. Bien vite d'autres victimes seront retrouvées , assassinées elles aussi d'atroce façon, dans d'autres lieux de culte.
-   Un duo de choc .
-  Mieux que ça. Un auteur talentueux. Vois-tu Le Blog, on sait au trois quart du livre qui est le tueur. Tout comme on sait pourquoi il tue...
- Ce qui tue le suspense ! S'exclame Le Blog outré ! Quel intérêt à suivre l'enquête si la résolution est donnée !
--  Ben non ! Justement ! L'enquête et le meurtrier sont si complexes qu' ils vous tiennent en haleine jusqu'au mot Fin !
-  Comment ça ? Là, La Plume je ne te suis plus !
-  Hé bien vois-tu, tout au long de l'enquête, des personnages vont surgir. Des êtres que rien ne semble relier entre eux, ou alors, les fils sont si distendus que l'on se demande ce qu'ils viennent faire dans cet imbroglio. Et c'est là toute l'astuce de  l'auteur... Le meurtrier en est le marionnettiste ! 
-   Et, peu à peu, on comprend, non seulement ce qui les relie, mais également quel rôle ils ont joué, ou qu'ils vont jouer, devine mon pote. 
-   Exact.
-  Et la fin dans tout ça ?
Soupir entre exaspération et indulgence. Décidément il insiste !
-   La seule chose que je te dirai c'est que chacun d'eux va reprendre son chemin là où il s'était perdu.
Une pause songeuse au souvenir... avant que je ne reprenne :
-   Franchement, j'avais du mal à le lâcher. Et puis le personnage du profileur est si atypique que tu n'as qu'une envie, c'est de le rencontrer, toi aussi. 
-   Bref, un thriller psychologique germanique qui est...
-  Une belle surprise, comme l'a été Jésus Vidéo Aussi aucune hésitation... 
LISEZ-LE !

                                           


48 heures pour mourir est un vrai coup de cœur, un thriller rappelant du Jean-Christophe Grangé et autre Silence des agneaux… 

***





Né en 1968 à Vienne, en Autriche, ville où il réside Andreas Gruber est le nouveau prodige du polar germanique. Écrivain apprécié pour ses romans policiers et ses nouvelles, il a reçu trois fois le prix de littérature fantastique allemande.



Plumeratures@gmail.com




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