LA FILLE DANS LE BROUILLARD





Donato CARISI
LA FILLE DANS LE BROUILLARD

31 Août 2016
Donato CARRISI
Editeur; Calman-Levy
  
-  C'est- y que tu te serais paumée dans le brouillard, La Plumette ? Ricane La Rature.
Ben oui...Désolée. Va falloir vous y faire ... à son langage. 
Elle a raison. Le moins que l'on puisse dire c'est que tu as été longue à l'écrire cette chronique ( Pas le même langage,  comme vous l'aurez remarqué ! ).
Bon...Faisons comme si j'étais  la première à prendre la parole...
 -   Donatooo Carisiii !!! J'adooore !  Rappelez-vous... Le Chuchoteur... Mais surtout, Le Tribunal des âmes, Malefico ( Pour celui -ci, à voir ou revoir la chronique novembre 2015 )... Ben ouais ( Tiens je rature, moi aussi ?! ), suis tombée amoureuse de Marcus...  Tu sais Le Pénitencier ... ?!
-   Donc tu es à l'affût, rigole Le Blog.
-   Tu parles Charles que je suis à l'affût ! ( V'la t'y pas que j'en remets une couche comme dirait l'Autre...La Rature...)... Et j' annonce, qu'il vient de  sortir un nouveau roman en ce début de Décembre. Malheureusement encore non traduit d'après mes recherches ! 
-   Alors, en attendant ? Celui que tu nous proposes ? 
-   Vouai ! Tu sais celui de La Fille dans la purée ? Couine l'autre.
-   Le Brouillard !  Reprend Le Blog, un tantinet  agacé. Pas la purée ! ( Tiens, il hausse le sourcil genre... tu m'énerves là ! Surveille-le un peu ton langage ! Il y a des lecteurs !).
-   Je te fais remarquer que je n'ai pas rajouté de poix ! marmonne sa pote... Car, à l'allure où elle (moi) nous l'a pondue sa chronique, ce ne pouvait être qu'une purée de poix ! qu'elle insiste.
Aujourd'hui, pour ces deux-là ce serait Mauvais temps sur la planète ! Je jubile ! Mais bon... Soyons bon prince (traduisez princesse)...
- Alors oui ou non ? Vous voulez savoir qui est Le Fille dans le Brouillard ? 
Deux paires d'yeux se retournent vers moi. Ajoutez-y, une paire de sourcils hauts, une autre froncée ( Vous vous souvenez ?)... Deux hochements de tête.
Ça commence sur les chapeaux de roues. Une adolescente disparaît dans un paisible village des montagnes alpines. Ses caractéristiques ? Rousse, des tâches de rousseur, sans histoire. Enlèvement ? Meurtre ? Fugue ?  L'affaire est confiée à Vogel. Un commissaire de police aux procédés d'investigation quelque peu particuliers, vaniteux, égocentrique, star des médias et des plateaux de télé. Comme il l'a souhaité, l'enquête va prendre une tournure médiatique telle, qu'elle va emporter  dans la tourmente la famille de la jeune disparue, mais surtout, elle mènera Vogel à sa perte. En effet, celui-ci va vite comprendre qu'il ne parviendra pas à résoudre l'affaire, et pour ne pas perdre la face aux yeux du public, qui suit chacun de ses faits et gestes, il  va s'employer à créer le coupable idéal, en la personne d'un professeur d'école respecté de tous. Dans un engrenage infernal ce dernier, que tout va finalement accuser, perdra, du jour au lendemain, son métier, sa femme, sa fille, sa réputation. Mais la question va se poser : Qui est le vrai coupable ? Vogel, de vouloir rester la star des plateaux  ? Le professeur  qui lutte contre ça ? Ou L'Homme dans le Brouillard ?   Car, vont remonter à la surface cinq autres disparitions, survenues trente ans auparavant dans ce même village. Toutes adolescentes. Toutes rousses...
-   Ben alors ? C'est qui ? Souffle La Rature soufflée.
Je n'y suis pour rien ! Je ne lui ai rien soufflé ! Grogne Le Blog.
C'est vrai que d'habitude c'est sa phrase préférée à la fin du résumé... Mais je...souffle...
-    Demande-moi plutôt ce que j'en ai pensé La Rature.
-   (Re-) Ben, t'en as pensé quoi La Plume ?
-   Je dirai que j'aime lorsqu'on rentre immédiatement dans le vif du sujet. Le début d'un roman est toujours délicat, en ce sens que trop de mises en place, même si cela est nécessaire, font parfois perdre patience. Ensuite, en ce qui concerne les personnages, je suis passé de la sympathie pour ce flic atypique, à une profonde aversion pour terminer dans une espèce d'admiration à la fin du roman. Pour les autres personnages, il est plus judicieux de laisser le soin aux lecteurs de les découvrir par eux-mêmes. Bref, dans ce roman, nous pouvons une fois de plus, retrouver le Mal, caractéristique aux romans de Donato Carrisi, mais aussi , la critique d'une  société superficielle, plus avide de sensations que de réflexion , des médias, des ténèbres de  l'âme humaine. (Re-) Bref, vous avez compris que ...
-  T'adoooores Donatooo Carrisiiiiiii ! Beugle La Rature, hilare de son bon mot.
Laissons-lui le mot de la fin... Si ça peut la calmer !

A Bientôt...

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